mercredi 25 juin 2008

English lesson one

For those stupid of you who don’t speak english i will traduce this post. Pour les stupides de vous qui pas anglais parlent je vais traduire cette poste.
Toute la musique que nous aimons est souvent chantée (hurlée, murmurée, égorgée) en anglais, la langue de Nelson Montfort. Si le vocabulaire est souvent accessible (motherfucker = enculeur de maman par exemple), le sens est parfois plus obscur. Voire nous passe au-dessus de la tête. D’autant plus que les auteurs anglophones doivent parfois faire usage de toute leur poésie pour faire passer des idées sans que la censure ne les passe à la trappe. Le contenu sexuel de certains morceaux peut alors nous échapper.
Quelques exemples : si vous êtes né fin 70 début 80 vous avez peut-être dansé à la fancy-fair de l’école sur le tube (le mot est correct) de Peter Gabriel « Sledgehammer » dont le refrain est « je veux être ton marteau-pilon » on vous aurait pas laissé dansé sur « love on the beat » de gainsbourg pourtant. Dans « whola lotta love », Robert Plant hurle qu’il veut « être l’homme de ta porte de derrière » (N.B. : whola lota c’est +- la description d’un viol) idem pour jim morrison dans « roadhouse blues ». Même Concept pour le tube de Billy Idol « dancing with myself » qui signifie « je me branle » ou « G.L.O.R.I.A » de Van Morrison (enfin je crois) qui est très subversif dans la version de Patti Smith – l’histoire d’une fille qui descend faire des choses entre les jambes de la chanteuse)
En voilà des chansons qui devraient faire l’objet d’un plan langue (ce dernier jeu de mots est totalement involontaire)

4 commentaires:

sim a dit…

qui l'eût cru ! tu parles d'une poésie !

Anonyme a dit…

Dans le genre poète, Nirvana n'est pas mal non plus avec "Rape me".
Il en est mort!

=:-| a dit…

ou "Polly"

Le_M_Poireau a dit…

Ring my bells
en autre exemple !
A croire que ça ne parle que de cul, les chansons qu'on aime bien !

[What ? The dance of the ducks ?]

:-)