lundi 27 octobre 2008

Clôture Sentinelle - Laval

je suis en pleine clôture comptable, les ordi tournent (et rament) et j'attends, j'attends, ...

N.B. : nous allons exploser les visions de cette vidéo car quand j'y suis allé, il n'y en vait que 6 !!!

beau(f)

Mesdames,

j'ai une question bête, le corps (érotisé) d'un homme vous fait-il de l'effet ou pas (en gros vous mastuberiez-vous en parcourant ce blog ?) ?
Ci-dessus, un pote exhib qui essaye de rendre les choses les plus esthétiques possibles ... écrivez-lui un petit mot si vous aimez ..

N.B. : ce pote est mon frère jumeau ;-)

The Beloved - Sweet harmony

Tiens les beloved avaient aussi fait ceci - la vidéo avec plein de filles à poil que j'ai regardé dans tous les sens et que je n'ai jamais rien vu de sexuel --- frustration suprème

The Beloved -- Sun Rising

une connerie de chanson qui ne vaut que par un morceau du refrain (la voix de la dame)
comme pour mon weekend bien noir où j'ai eu mon sourire / rayon de soleil

vendredi 24 octobre 2008

(she s lost) control

Hier soir j'ai regardé le dvd de "control" le biopic de Ian Curtis (Joy Division) réalisé par Anton Corbijn - et j'en ai profité pour essayer ma nouvelle télé. Le film en noir et blanc est très très esthétisé tout en plan fixe (Anton est photographe). La musique est géniale : joy division bien sûr et aussi le rock de la période 73-80 - bowie, reed, sex pistol, buzzcoks, ...
Le film est triste et noir (on connait la fin), il est aussi long, long, long ...
J'ai été un peu déçu par ces longueurs et surtout par la part limitée consacrée à l'histoire de la musique
Comparé aux "doors" de Oliver Stone qui était chatoyant avec un jim morrisson charismatique, "control" est noir et Ian Curtis est un anti-héros malade. Faut dire aussi que un se passe à Los Angeles (venice beach) fin des années 60 alors que l'autre se passe à Manchester (cité minière en pleine crise) début 80.
Un bon film quand à regarder pour les images et écouter pour la musique (un long clip quoi !)

Quand bientôt c'est maintenant

Un bon vieux souvenir entendu ce matin sur C21

mercredi 22 octobre 2008

C'est arrivé près de chez vous

Hier, après mon cours (21h30), j’ai voulu aller manger qlqchose à Charleroi.
C’est encore plus glauque que dans mes souvenirs. Les putes du boulevard Tirou*, par exemple, j’espère franchement qu’elles ne sont pas chères … enfin bon passons.
J’ai été boulevard des alliés car je voulais me faire un petit grec, j’ai été à la « bonne fourchette » qui comme son nom l’indique fait dans le grec et le marocain. Il n’y avait pas grand monde mardi à 22h00 tu penses. Le décor c’est n’importe quoi (très très vieillot avec les aquariums tout pourris et tout et tout) sauf que c’était bon et pas cher (22 € pour zakouskis, entrée, sorbet, plat, dessert, café et 2 bières).
A ma très grande surprise, c’est un resto de copines (pas des filles que je connais, non des pédés). Indices : les deux serveurs sont des « beaux mecs » un rien typés (cheveux courts, pantalon impeccable, ligne fine, …), il y avait deux gars qui mangeaient à une table qui étaient visiblement ensemble (c’est rare quand je tiens la main de mon pote en le regardant dans les yeux), la musique était à mourir (de rire – Isabelle Boulay, Dalida, Céline Dion) et le cuisinier dansait en chantonnant « pour que tu m’aimes encore ».
Bref une soirée terrib’

* le boulevard Tirou, c’est les Champs-élysées de Charleroi, avant les putes on les cachait dans le « triangle » de la Ville Basse et on les mettait dans des « bar » comme chez Jenny (voir la vidéo – c’est la vraie Jenny !!!). Maintenant, c’est carrément en rue et un peu plus haut dans la Ville … ou à l’entrée de la Société Wallonne du Logement comme hôtesses d’accueil.

mardi 21 octobre 2008

J'aurai plus jamais 100 ans (Soeur Emmanuelle)

Voici un morceau (que 21 vient d’avoir la bonne idée de jouer) qui correspond bien à mon état d’esprit actuel. Les paroles du début : « it doesn’t matter if we all die »
de plus, pour bien terminer ma journée de merde, je vais donner cours à IFAPME Charleroi ce soir, j’irai me perdre après dans les bars de Marchienne (de vie) pour me saouler au café filtre en compagnie de marocains sexagénaires taiseux et d’improbables mères au double-foyer avec qui je finirai sous de roses draps délavés, usés par le temps, les amants d’un soir, la lessive Tandil et Kileur, le chiot Rotweiller de Kevin-Joe, le fils que Calo a abandonné dix jours après sa naissance, le jour où Jennifer fêta ses 15 ans.

Bon si quelqu’un a une autre idée de sortie pour ce soir, je suis preneur …de n’importe quoi : (strip)poker, bingo, concert de métal helvétique ou de techno toulousaine, bar à bears ou scrabble. Tant qu’il y a à boire ( de la chope pas du redbull)


N.B. Vous croyez qu’il y en a des hôtesses d’accueil à Marchienne au Pont ?

N.B. : à N Q – tu as eu la primeur

lundi 20 octobre 2008

M E R D E


Ni ACDC, ni Metallica


Après avoir passé 1h00 sur 2 téléphones et sur internet PAS de PLACE.


En plus, j'ai été pris 2 fois au téléphone mais le serveur téléphonique s'est planté lors de la confirmation de ma commande


j'en ai MARRE !!!!!!!!! je suis hyperfrustré !!!!


Je deteste goformerdic et telejetenik !


N.B. : En plus pas même une hôtesse d'accueil pour te répondre

mercredi 15 octobre 2008

pinpon

J’ai un enfant qui souffre d’une maladie chronique qui le laisse vivre normalement mais de manière impromptue, une crise peut survenir.

Ce fut le cas ce lundi soir.

Il m’a fallu d’abord chercher un médecin de garde. J’ai cherché dans ma commune (j’ai emménagé il y 2 mois) et la je tombe sur un répondeur qui m’annonce qu’il y a une garde uniquement le week-end. Merci, j’appelle mon médecin traitant (un peu plus loin), il me dirige via son répondeur vers son collègue de garde. Gars sympa qui me reçoit de suite.

« suspicion d’appendicite » - urgence – je vais d’office au CHU Saint Luc à Woluwé où l’éminente Professeur(e) Nassogne soigne mon fils.
Jour de chance, arrivé à 23h, les urgences sont vides sauf …3 parents avec enfants (de toutes les couleurs). Séjour dans la salle d’attente devant la télé en sourdine.
Une belle surprise, un film de q … une chaine du câble diffuse le making of d’un film très correct. Une blonde d’une bonne trentaine d’année se fait prendre en levrette. Pas de scène de groupe, de sodomie, d’éjac faciale … du porno familial quoi. Je le signale au sympathique gars de l’accueil qui n’en revient pas. Il va vérifier, change de suite et me remercie.
Nous sommes reçus dans une salle commune avec un couple de chinois et un bébé. Ils débarquent de Chine, parlent un mauvais anglais comme l’assistant de pédiatrie. Lucas passera après, la petite vomit. On ausculte Lucas en attendant le retour du pédiatre de garde appelé pour une urgence. Je signale à l’assistant que Lucas souffre de la myasthénie et qu’il a un dossier épais comme un registre de condoléances … comme indiqué par le medecin de garde sur le papier qu’il tient à la main. « ah oui ? »
A 1h, on vient faire une prise de sang : « il faut compter 1h30 pour avoir les résultats ». On notera que le « pauv médecin de garde » l’avait déjà demandé. On aurait juste gagné 2h30 …
Enfin, 3H30, tout va bien !!! On peut rentrer à la maison.
Génial, je rentre juste à temps pour partir à la criée.

Hier, retour aux urgences, hospitalisation, attente, attente, attente …maintenant je sais pourquoi on appelle les malades des patients …

lundi 13 octobre 2008

classique ?

Hier, une heure des classiques fut conscarée à un album "résurection" (encore une fois) de Clapton : un concert de 1983 avec quelques amis. Sur cette reprise deux ou trois guitaristes un peu connus.
NB si quelqu'un pouvait me donner les '"(! de références de ce cd je lui fais la bise !

Metallica: The Day That Never Comes from Death Magnetic

Nondidjou que cet album de metallica est bon !
Ce qui m'épate le plus c'est que Death Magnetic s'est classé directement 1er des ventes aux Etats-unis et en Grande-Bretagne.
Ce n'est quand même pas une musique à classer dans le "commercial"
Brzef rien de mieux pour commencer la journée que Snooze suivi de l'écoute de cet album

jeudi 9 octobre 2008

Suite au décès accidentel de mon épouse, je ne publierai plus de message avant ce lundi étant occupé à divers prépartifs.
Je vous souhaite néamoins un bon week-end.

Good times

Ce matin en écoutant ma radio préférée, j’ai particulièrement apprécié la programmation de l’entreprise mura ( ?) pour men at work (10h-11h). Il y avait notamment bohemian rhapsody de Queen (dois-je préciser ?).
Les passagers de ma voiture restent toujours ahuris en me voyant faire du « headbanging » dans la deuxième partie du morceau – il m’arrive même de défaire ma queue (je porte des cheveux longs) pour accentuer l’effet.
L’explication c’est le film « Wayne’s World » … un très bon souvenir d’une époque (rétrospectivement) formidable.

mardi 7 octobre 2008

Echange de bons et loyaux services


Je désire me séparer de ma femme : elle m’embête, elle me houspille tout le temps, elle veut que je bosse alors que j’aime me la couler douce. Mais un divorce, va être pénible, nos biens seront vendus, je ne verrai plus mes enfants tous les jours, j’aurai moins de sous à dépenser à des conneries, … L’idéal serait qu’elle meure. Je récupère le fric des assurances-vie, je garde mes gosses et ma maison. De toute façon, mes enfants seront moins traumatisés par un décès "accidentel" que par un divorce.
Le hic c’est que le décès doit être accidentel justement … sinon les flics, les soupçons, les commérages voire les gros titres « il tue sa femme car elle l’embêtait ! » (La Nouvelle Gazette), « drame du divorce … il pousse sa femme dans l’escalier pour conserver la garde des enfants » (Vers l’Avenir), « la mère courage gisait dans son sang » (La DH), « Régions – il tue sa femme » (Le Soir), « Massacre à J…, le mari-fou égorge sa femme devant ses enfants avant de les forcer à boire son sang – d’après notre correspondant sur place » (Le Nouveau Détective).
Mais pour assassiner sa femme, il faut la jouer subtil. Pas question de faire comme ce gros con de Renneboog, Recteur de la VUB (excusez du peu), qui a mal maquillé l’assassinat de sa femme et qui en plus a raté sa cible …
Non, je crois qu’il faut la jouer comme dans « l’Inconnu du Nord Express » (Stranger on a train de Patricia Highsmith). Alors si quelqu’un a envie de se débarrasser d'un(e) gêneur(se) qu’il n’hésite pas à me contacter je le ferai volontiers contre un petit service …

1977

Il y a à peine 31 ans, voici nos deux héros en visite à la Gendarmerie de Charleroi

lundi 6 octobre 2008

j'ai envie de te gomohrrer !


On connaît tous l’histoire de Sodome et Gomorrhe, villes détruites par Dieu pour leurs mœurs insupportables. Bon Sodome, on voit quelle était la pratique mais Gomohrre ? Quel délice Dieu nous a-t-il caché en détruisant cette ville ?
Il existe diverses théories :
- le sexe oral : là aussi que de précieuses semences perdues dans la lubrique et vaine recherche du plaisir.
- la pénétration de l’oreille : prévoir beaucoup de lubrifiant. Comme pour la sodomie, un lavement préalable est recommandé.
- le sexe nasal : le lien toujours supposé entre la taille du sexe de l’homme et de son nez y trouvera peut-être son origine. Cette pratique s’apparente à la fellation une fois la résistance des narines et du cartilage vaincue.
- le sexe oculaire : la pénétration des yeux est assez chouette car elle permet une double pénétration. La lubrification est naturelle. L’orifice peut être mal adapté à la taille du sexe. On parle alors d’orbite.
- le sexe urétral : pénétration de l’urètre. Soit chez l’homme, soit chez la femme. Nécessite une très bonne lubrification et beaucoup de bonne volonté de la part du partenaire.

Pour les quatre dernières pratiques, la nécrophilie est un plus.

J’ai beau chercher, je ne trouve pas d’autres orifices à pénétrer : les pores sont trop petits, les plaies trop sales, …

Enfin, suis-je peut être le seul à me poser cette question fondamentale ?
Quand pourrais-je susurrer à l’oreille d’une hôtesse d’accueil avenante « toi, j’ai envie de te gomohrrer, ici tout de suite, sur la table entre la plante verte, le téléphone et les badges visiteurs » ?

Faut-il éventrer les femmes enceintes ?


C’est quand même incroyable ces femmes enceintes, sous prétexte qu’elles portent la vie, le droit du travail les a « protégées ». On ne peut pas les virer, on doit accepter les absences pour « fatigue », les congés de maternité (dont le 1er mois est à charge de l’employeur), les travaux proscrits, et j’en passe … Pour un petit employeur, une femme enceinte, c’est une catastrophe car il prend à sa charge tous les problèmes d’absence, de diminution d’efficacité, de larmes et se fait traiter de salaud dès qu’il ose le dire !!!
Une des apprenties de ma femme (17 ans !) vient de lui apprendre la « bonne nouvelle ». C’est un accident (et pas un accident du travail car je n’y suis pour rien), il va falloir payer les dégâts. Pour couper court et l’aider à faire le bon choix pour sa carrière professionnelle, on a proposé de lui payer tous les frais d’avortement et bien la petite conne fait la fine bouche. Franchement a-t-on déjà vu employeur plus impliqué dans l’avenir de son personnel ? (et j’entends déjà les chiennes de garde grincer des dents)

Et merde, je déteste le droit du travail, les acquis sociaux, les femmes de manière générale et les hôtesses d’accueil qui ne prennent pas leur précaution en particulier.

mercredi 1 octobre 2008

Faut-il égorger Marie-Christine Bonzon ?

S’il y en a bien une qui me casse les couilles, c’est Marie-Christine Bonzon, la correspondante de la rtbf radio à Washington. Je ne juge pas du fond mais de sa manière de parler. C’est proprement insupportable, elle a des intonations qui donnent envie de tuer. Elle peut me pourrir la vie dès le journal de 7h00. Je me demande même si je ne vais pas regretter le duo Mike/Olivier Duroy de radio contact (non c’est ça c’est pas possible). Je préfère encore écouter le megamix de Céline Dion, David Coverdale, the Streets, les Chœurs des Choristes, Chantal Paquot et la craie sur le tableau noir reprenant « highway star » de Deep Purple.
Vivre avec elle doit être infernal. Vous imaginez : « oh oui mets la moi toute ! Je veux que ta grosse queue turgescente de mulet priapique me défonce l’étroite rondelle de mon cul offert et me fasse gémir comme la chienne lubrique d’une hôtesse d’accueil érotomane ». Eh bien avec ses intonations, ça le fait pas !

Je déteste les interventions de Marie-Christine Bonzon, les mégamix, le journal de 7h00 sur la première et les hôtesses d’accueil coincées du q.

N.B. : le langage un peu cru de Marie-Christine lors du coït est le fruit de ma plus délicate imagination. Il ne peut en aucun cas être considéré comme l’extrait authentique d’une quelconque déclaration de l’intéressée.